Un type merveilleux-Flammarion
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Fille et petite-fille de marchands de tableaux milliardaires, en révolte contre son milieu, Anouk se marie à vingt ans avec Robert, un garçon d'origine modeste. À trente ans, il est à l'orée d’une brillante carrière. Après treize mois de mariage, Anouk accompagne Robert lors d'un voyage d’affaires à Washington. Dans l’avion, Robert se rend compte qu’il a oublié d’annuler la « journée libre » que d’habitude il se réserve en secret, et invente une réunion à Boston. Restée seule, Anouk fera la connaissance d’un Américain, Steve. Elle vivra avec lui une aventure passionnée, ayant pour cadre Washington, ville à la fois somptueuse et terrifiante. |
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© Flammarion et Christine Arnothy
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Ouest-France, 18 août 1972
« (…) elle a su mettre une écriture sans faiblesse au service d'une imagination passionnante. »
La Libre Belgique, 13 septembre 1972
« À force de se pencher sur le problème des hommes, Christine Arnothy expérimente combien est effarante, est la comédie humaine aujourd'hui. »
Le Provençal, 17 septembre 1972, Charles de Richter
« Ça ne ressemble à aucune de ses œuvres précédentes, mais cela en a gardé tout le talent, enrichi, mûri, elle avance dans la vie en observant avec intelligence les êtres et les choses, elle nous les livre vivants avec leurs faiblesses et leur grandeur. (…) Lisez ce livre, il vous envoûtera comme il a envoûté, sans aucun doute, tous ceux qui l'ont lu. »
Le Journal du Dimanche, 17 septembre 1972, Annette Colin-Simard
« Vive les romans distrayants ! À bas les immobiles, introspectifs et esthético-ennuyeux ! C'est en faveur de "Un type merveilleux" de Christine Arnothy, que nous nous exprimons ainsi. (…) "Un type merveilleux" est un livre "riche". En événements, en personnages, en descriptions, en décors. »
L'Aurore, 19 septembre 1972, Jean Mistler de l'Académie française
« Christine Arnothy (…) fournit la preuve d'un métier qui s'affirme et d'une imagination qui se renouvelle sans cesse. Son nouveau livre, sans prétendre être une étude sociologique, aborde un vaste problème : rien de moins que la crise de la société moderne ! »
La Voix du Nord, 19 septembre 1972, Paul Guth
« L'art de Christine Arnothy réalise le miracle de concilier la souplesse et la rigueur, la liberté conteuse et la plus cartésienne démonstration. Un type merveilleux me semble être la plus robuste synthèse de ses dons si particuliers d'observation patiente et profonde (…) »
Le Dépositaire de France, octobre 1972, Jacqueline Barde
« Sa vitalité, son amour profond de tout ce qui existe, rêve, lutte et respire éclatent dans ce livre étrange et riche, révolutionnaire et romanesque, dont les séquences brutales mettent en valeur les moments de tendresse. »
Le Soir, Bruxelles, 5 octobre 1972
« (…) un sens intense du drame. la description puissante d'un univers de violence, le rythme haletant d'une plongée dans les dramatiques secrets des hommes et d'une ville. L'évocation de Washington, de sa beauté, de ses menaces et des possibilités redoutables qu'elle donne au destin, est d'une grande maîtrise. »
Le Parisien libéré, 10 octobre, Pierre de Boisdeffre
« Mais le meilleur du roman, c'est son décor, si vrai, l'Amérique anarchique et violente de 1970, avec ses couleurs, ses parfums, ses contrastes. »
Le Progrès Dimanche, 15 octobre 1972, René Tavernier
« Avec "Un type merveilleux", Christine Arnothy situe au premier rang d'une littérature romanesque si souvent, trop souvent exténuée de recherches techniques et de cérébralité. »
L'Humanité, 2 novembre 1972, Paulette Charbonnel
« (…) une protestation passionnée contre tout ce qui dégrade, humilie, mutile l'homme : l'argent, le racisme, la guerre. (…) Quel film, d'ailleurs, un Buñuel ou un Visconti pourraient découper dans un roman aussi dense que complexe et d'une si rare intensité dramatique. »
Nouvelles littéraires, 6 novembre 1972, Didier Decoin
« Je n'ai pas connaissance d'un écrivain français ayant appréhendé une métropole américaine avec une telle intelligence sensible et lucide. »
Lectures pour tous, novembre 1972, Guy Le Clec'h
« Christine Arnothy en tout cas a le talent généreux. »
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© Christine Arnothy
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