La Piste africaine-Plon
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Jour et nuit, je les attends. Ils vont sonner à la porte de ma demeure de Los Angeles, ils m’accuseront du meurtre de ma femme, Angie Fergusson, et m’arrêteront. Mon avocat me conseillera de garder le silence. Mais bientôt l’aveu surgira de ma bouche, mes mots saigneront, et personne ne croira à l’homicide involontaire. Je voudrais mourir au milieu de la savane et pas sur la chaise électrique. |
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© Plon et Christine Arnothy
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Le Parisien, 8 avril 1997, Pierre Vavasseur « (…) un roman d'une grande densité qui marie l'enquête à l'amour et l'aventure, mais qui revêt aussi une profonde dimension psychologique. Avec ce livre, qui offre en outre un prolongement à "Vent africain", Christine Arnothy n'a peut-être jamais décrit avec plus de fougue les convulsions de l'âme humaine. » Madame Figaro, 9 avril 1997, Danièle Mazingarbe « (…) Christine Arnothy nous entraîne sur "La Piste africaine" dans une poursuite haletante (…). » Coopération, 7 mai 1997, Henri-Charles Dahlem « Un suspense qui vous tiendra en haleine jusqu'au coup de théâtre final, une passion des détails qui "font vrai" qui a failli lui coûter la vie et une étude psychologique fouillée font de la dernière œuvre de Christine Arnothy une réussite qui ne doit rien au hasard. » La Liberté, 10 mai 1997, Éliane Waeber Imsiepf « Racisme, écologie et même religion (…), Christine Arnothy ne craint pas d'aborder les sujets sérieux. Et met le doigt avec détermination sur les dysfonctionnements du monde. Mais, rejoignant en cela quelques grands classiques, sa manière est divertissante. » La Tribune de Genève, 10-11 mai 1997, Alain Penel « Prouvant qu'aucun des registres humains ne la rebute, elle n'hésite pas ici à prendre la voix d'un narrateur, Éric Landler. Sans détonner. Ce roman, faux polar, vrai thriller, tient constamment en haleine. D'abord à cause de ses circonvolutions géographiques : la Californie, le Kenya. Ensuite à cause de ses circonstances dramatiques. Tout y est agencé avec une habileté presque féroce, mais non sans compassion. » L'Indépendant, 11 mai 1997, Sylvie Lainé « Livre d'aventure, roman d'amour, roman policier, thriller, "La Piste africaine" est tout cela à la fois, mais c'est d'abord et avant tout l'itinéraire d'un homme confronté à son propre destin, un homme qui cherche sa place dans un monde impitoyable où le facteur humain reste secondaire. (…) Des personnages attachants pour un livre que l'on a bien du mal a refermer quand arrive le point final. » Le Figaro littéraire, 15 mai 1997, Dominique Guiou « Quel tonus ! Pour écrire comme cela, il ne faut pas manquer de souffle. Quatre cents pages de suspense et d'angoisse, menées à un train d'enfer, c'est le tour de force que réussit Christine Arnothy avec ce roman (…). (…) inquiétant roman d'action, où l'écrivain sait être à la fois précis dans ses descriptions (il y a de très belles pages sur Las Vegas et sur le Kenya), juste dans ses dialogues, efficaces dans sa progression dramatique et un peu folle dans son invention romanesque. Sans aller jusqu'à voir dans ce récit un manifeste politique, on croit déceler, en filigrane de ces rocambolesques péripéties, une réflexion grinçante sur les rapports entre pays pauvres et pays riches, et une critique sévère de nos sociétés occidentales gangrenées par les faux-semblants de l'argent et du pouvoir. » L'Express, 22 mai 1997, Anne Pons « Pourquoi diable nous rebat-on les oreilles avec les maîtres du suspense américains (…) ? Christine Arnothy prouve avec ce livre époustouflant qu'ici aussi on sait y faire. Dialogues efficaces, humour de romancière anglaise, sueurs froides, peinture des mœurs des nantis de Los Angeles, l'ensemble fondé sur une connaissance infaillible du Kenya et de la pagaille africaine : l'auteur ignore tout des insupportables effets téléphonés. Dans ces pages personnelles, rien qui ne soit une surprise et ne prenne le lecteur à contre-pied de son attente. » Elle, 14 juillet 1997, Céline Buanic « C'est le plus beau roman d'une grande conteuse. Un texte parfait, sans une aspérité, sombre mais limpide, inquiétant mais drôle. » Femina Hebdo, 20 juillet 1997, Marie-Christine Luton « Passionnant au point de ne pas le lâcher avant la dernière ligne ! » Atmosphères, juillet-août 1997 « (…) efficacité et suspense. » |
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© Christine Arnothy
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