Jeux de mémoire-Fayard
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Pour la première fois depuis la publication de J'ai quinze ans et je ne veux pas mourir, Christine Arnothy parle d'elle-même. De son enfance hongroise, des années qui ont précédé le siège de Budapest, de cette autre part de sa vie dont elle n'a jamais voulu parler. Autobiographie pleine de tendresse, d'humour, de chagrin et d'espoir : la confrontation d'un écrivain, qui croyait ne « se sentir à l'aise que dans ses romans », et de sa vérité profonde, évoquée avec autant de lucidité que de pudeur. |
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© Fayard et Christine Arnothy
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Nouvelliste et Feuille d'avis du Valais, 26 août 1981 « Dans les silences de ce beau livre passent, en un grand vent renouvelé, des images d'une force saisissante. » Livres de France, septembre 1981 « Une autobiographie pleine de tendresse et d'humour, de chagrin et d'espoir. » Télé Poche, 2 septembre 1981 « (…) une autobiographie pleine de tendresse, d'humour et d'espoir. » Télé 7 Jours, 5-11 septembre 1981 « (…) C'est la confrontation d'une romancière et de sa vérité profonde, évoquée avec lucidité et pudeur. » Le Parisien libéré, 10 septembre 1981, Alexandre Le Gros « On est saisi par l'émotion en lisant ces pages pleines de finesse, d'humour, d'une rare sensibilité, où transparaît à chaque instant l'amour. » Le Matin, 14 septembre 1981, Françoise Xenakis « Les écrivains ont, quand ils ont du talent, le fabuleux pouvoir de renaître ainsi de la mort. Jeux de mémoire refermé, on jurerait que c'est gagné pour elle. » V.S.D., 17-23 septembre 1981 « Christine Arnothy raconte son existence vagabonde et déchirée dans un livre sec, rapide, sans émotion inutile. » Vie protestante, 18 septembre 1981, Simone Guye « Pour cette réconciliation avec un passé tourmenté, elle a su garder la rigueur d'un pur style classique, et une exemplaire concision. » Télé Journal, 19 septembre 1981, Bruno d'Epenoux « À notre époque où l'exhibitionnisme à la mode pousse certains écrivains à de pitoyables révélations sur eux-mêmes, ce livre trop court a un ton qui sonne juste. » Le Point, n° 469, Jacques Pierre Amette « Christine Arnothy (…) mène d'une écriture autoritaire et enjouée une suite de souvenirs un peu disjoints, qui nous baladent de Budapest avant la guerre aux ports du septennat mitterrandiste. » Jours de France, 10 octobre 1981, Bernard George « (…) Christine Arnothy tisse des pages très belles où l'amour s'avère moyen privilégié de connaissance. » Le Nouveau Journal, 17 octobre 1981 « <un > grand courage, une lucidité admirable et aussi un humour incontestable rehaussé par une certaine dose de cynisme, en quelque sorte indispensable à tout écrivain se livrant aux dangereux Jeux de mémoire. » Midi Libre, 18 octobre 1981 « (…) une délicatesse unique dans notre grand cirque littéraire. (…) "Jeux de mémoire" est un livre précieux comme tous les livres qui laissent entrevoir un être lucide et point uniquement préoccupé de ses états d'âme. » L'Est-Eclair, 30 octobre 1981, René Vigo « Christine Arnothy (…) donne ici le meilleur d'elle-même en réveillant un passé douloureux et féerique. Elle se montre lucide, déchirée, amère, spirituelle, pudique, à la fois douce et féroce. » Le Courrier, 11 février 1982 « C'est toujours une fête grave quand on ouvre un livre de Christine Arnothy. Tant de talent, de pudeur, de courage et de délicatesse qu'on lit toujours par petites tranches pour faire durer le plaisir doux-amer. Il y a la musique des mots, l'assemblage de phrases rapides mais combien denses, toute une peinture intérieure fragile et tendre. Et dans ces Jeux de mémoire, il y a encore l'immense amour des êtres et de la vie, souvenirs déchaînés au long de trop courtes pages. » Nouveau F, 4 mai 1982 « Un récit émouvant, de très belles pages. » L'Avenir de la Côte d'Azur, 14 mai 1982, J. J. Antier « Tous ceux qui ont lu J'ai quinze ans et je ne veux pas mourir vont retrouver dans ce livre, tour à tour tendre, cruel et pathétique, la grande Christine Arnothy qui d'un seul coup s'éleva avec son premier livre à un sommet littéraire où elle eut le courage de se maintenir par la suite, malgré cette souffrance et cette difficulté d'écrire qui caractérise tant de vrais écrivains. » World Literature Today (A literary Quaterly of the University of Oklahoma, USA), hiver 1983, D. McDowell « (…) in Jeux de mémoire she blends time and space poetically and gives an impressionistic rendering of the most pathetic and dramatic episodes of her life (…). Once more Arnothy makes readers vibrate. She communicates to them her conquering spirit, her faith in eternal ideals and, in spite of her ordeals and sorrow, her thirst for life. » |
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© Christine Arnothy
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