Désert brûlant-Grasset
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Rien n’est plus risqué que d’être honnête, surtout quand on est avocat. Ayant flairé l’odeur de l’argent sale, je suis devenu témoin à charge contre un client dont j’aurais dû assurer la défense à Vienne. Tollé général, liste noire, et licenciement probable de mon cabinet parisien. La veille de mon retour en France, Harry Bolton, surgi de mon passé américain, m’a proposé une affaire : accompagner une jeune comtesse allemande, Jennifer, chez sa mère, qui réside près de New York. On me payait 50 000 dollars pour le trajet. J’ai vu un château, une fille superbe, et deviné un océan de fric. Je me découvris bientôt l’enjeu d’une affaire tentaculaire. J’ai toujours supposé que certains documents empoisonnés, bien utilisés, pouvaient détruire plus radicalement qu’une arme. J’en étais la preuve…
Jennifer et Grégory traversent le désert brûlant des fausses amitiés, des sourires vides et des haines tenaces. Long Island, Las Vegas, et l’ultime étape : San Francisco. Une poursuite à travers la chaleur étouffante du Nevada, sous les étoiles qui semblent proches… L'existence est d’une telle fragilité. Chaque minute compte, n’est-ce pas ?
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© Grasset et Christine Arnothy
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Le Parisien, 10-11 octobre 1992, Maurice Achard
« Toutes les passions sont dans le nouveau roman de Christine Arnothy, Désert brûlant. Passion de l'autre, passion de la justice, passion de l'argent, passion de l'Amérique… Une histoire haletante, qui se lit sans faire escale… »
La Suisse, 11 octobre 1992, Michel Gerbot
« Ce roman prend à la gorge et au coeur. On ne peut pas le lâcher. Quelle radiographie de la psychologie d'un homme d'aujourd'hui et de notre époque… »
Figaro Magazine, 31 octobre 1992, Christian Giudicelli
« Christine Arnothy, en romancière sûre de son métier, sait créer pour ce couple sympathique un parcours du combattant où, à chaque obstacle, l'intérêt du lecteur se renouvelle. »
Le Figaro, 2 novembre 1992, Laurence Vidal
« Christine Arnothy (…) est prête à poursuivre son oeuvre prophétique et, sous le couvert apparemment frivole d'un roman à suspens, à stigmatiser sans repos une société corrompue où règnent, nous ne le saurons jamais assez, l'avidité et le simulacre. »
Elle, 23 novembre 1992, Françoise Ducout
« Rien ne se gagne facilement et surtout pas le vrai bonheur, nos deux héros devront surmonter pas mal d'épreuves tissées par une Christine Arnothy particulièrement en forme pour parvenir à un bonheur impossible à chiffrer. »
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© Christine Arnothy
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