Toutes les chances plus une-Grasset
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Lisa a vingt et un ans. Laurent Jay, ambitieux, séduisant, charmeur, se trouve, à cause du départ de sa femme - coéquipière intelligente dans un mariage de raison - disponible juste quelques mois avant la campagne pour l’élection présidentielle. Il croit installer provisoirement Lisa dans sa vie, c’est elle qui s’installe dans la conscience de Laurent, qui découvre à cinquante ans tout ce qu’il a manqué dans sa jeunesse. Porté vers le pouvoir par l'indéfinissable volonté de la France, il tente d’apprendre d'une jeune femme ce que veut dire : oser vivre.Christine Arnothy analyse d’une manière superbe les relations d’un homme, devenu une « bête politique », avec ceux qui l’entourent et sa confrontation avec le pouvoir, à une époque caractérisée par la frénétique course au succès. Il y a aussi la crainte d’éprouver un vrai sentiment : l’amour rend dépendant, comme l'argent.Toutes les chances plus une ’est pas seulement l’histoire d'un couple lié par l’ambition, mais également celle d'une fille d'aujourd’hui, libre, équilibrée, courageuse et qui lutte pour le bonheur comme une pionnière. Ce roman au suspense psychologique incessant est aussi une radiographique d’une classe sociale où aucune faiblesse n’a de place.
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© Grasset et Christine Arnothy
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Le Journal du Dimanche, 31 août 1980, Annette Colin-Simard
« C'est du sang vivifiant, rempli de tonus d'un écrivain comme Christine Arnothy qu'a besoin notre littérature exsangue à force de ne rien contenir. (?) Une peinture de m'urs très éclairante. »
France-Soir, 2 décembre 1980, Jean-Claude Lamy
« Christine Arnothy sait ficeler une histoire. Aujourd'hui, ce n'est pas si courant, car beaucoup de romanciers oublient de raconter une intrigue avec ses nécessaires rebondissements. »
Le Monde, 3 décembre 1980
« Ce roman d'inspiration satirique, bien ficelé et bien enlevé, fait honneur à la verve de la conteuse. »
Le Matin, 3 décembre 1980, Françoise Xenakis
« Une comédie humaine remarquable (?). »
La Voix du Nord, 23 décembre 1980, Paul Guth
« Oui, le roman reste l'instrument d'analyse le plus pénétrant d'un type humain, d'une classe, d'un milieu, d'une société. Aucune étude sociologique, historique, économique, philosophique politique, ne peut le remplacer. Christine Arnothy nous en administre la preuve éblouissante. »
VOYelles, mars 1981
« Un regard salubre sur l'effrayante machine des hommes qui nous gouvernent ! »
La Tribune de Genève, 22 janvier 1983, Henri Poulain
« (?) un roman passionnant de bout en bout (?). »
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© Christine Arnothy
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