Malins plaisirs-Plon
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Henri et Adam, qui ont émigré trente ans plus tôt au bout du monde, prennent le vol Sydney-Paris le 19 décembre 1999. Traité jadis comme un bon à rien par sa famille, Henri avait choisi de fuir en Australie. Il revient en France, déterminé à éblouir ceux qui l’ont piétiné et, en utilisant sa fortune pour les faire souffrir, à prendre sa revanche. Informaticien de haut niveau, Adam a été dépossédé d'un programme qui lui aurait assuré la renommée et l’argent. Il rentre à Paris pour s’offrir un séjour de grand luxe. A la suite d’un changement de place dans l’avion, leurs destins vont s’entrechoquer. Trois femmes se trouveront mêlées à leur sort. Ce roman est dédié à tous ceux dont on a pillé l’imagination, volé les idées, parfois même l’honneur donc la dignité, pour un profit sinon pour un malin plaisir. Pourtant, il arrive que l'on récupère les objets et les rêves dérobés,si l’on a la chance de vivre plus longtemps que le voleur. |
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© Plon et Christine Arnothy
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La Tribune de Genève, 30-31 janvier 1999, Alain Penel « D'une écriture rapide, presque journalistique, l'oeuvre avance autour d'une construction kaléidoscopique nerveuse et emballante. Sans oublier toute une galerie de personnages, (?) ce roman tient constamment en haleine. Il apparaît comme un fascinant thriller (?). »
Le Matin, 31 janvier 1999, Marie-Claude Taillens « L'écrivain s'offre cette fois un voyage aux antipodes, étudie avec soin ses semblables et propose à ses lecteurs une histoire menée à un train d'enfer. (?) Dès la première ligne, on est entraîné dans une atmosphère angoissante (?). » Madame Figaro, 6 février 1999 (?) quatre cent pages haletantes, concoctées avec machiavélisme par la nouvelle reine française du suspense. Les Américaines n'ont qu'à bien se tenir ! » Le Parisien, 13-14 février 1999, Pierre Vavasseur « (?) un malin roman qui met en scène nos temps modernes, ses programmes informatiques, ses victoires virtuelles et ses amours entrecroisées. (?) Roman moderne, Malins plaisirs Ultramoderne. Roman classique ? Ultraclassique. C'est une comédie qui ne dit pas son nom. Du tragique qui ne se prend pas au sérieux. » Bulletin critique du livre en français, août-septembre 1999 « Suspense garanti tout au long de ce roman dont les épisodes rebondissent à l'allure des moyens de communication de notre époque. » |
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©Christine Arnothy
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