Complot de femmes-Fayard

 
Titre original
  Complot de femmes


©Fayard
  Titre Complot de femmes
Editeur Fayard
Lieu d'édition Paris
Année de l'édition 2000
Année du copyright 2000
Langue Français
Genre Roman
 
 
 

Publisher's presentation

Décembre 1999.Après trente ans d’absence, un homme d’affaires est attendu à Roissy, de retour d’Australie. Mais c’est un autre qui se présente à sa place. Adam Fournier a pris l’identité d'Henri Moret. Pourquoi ? Adam voulait-il se venger de l’« infâme salaud » qui l’a spolié ? Est-ce un hasard si Henri Moret est mort subitement dans l’avion où il voyageait à côté d'Adam ? Quel bénéfice Adam espère-t-il tirer de cette arnaque ? Et la femme qui attend à l’aéroport sera-t-elle dupe de la substitution ? En tout cas, quelqu’un est convaincu de la supercherie, quelqu’un qui n’a pas l’intention de lâcher la piste : Samuel Mann.Trois femmes intelligentes, intéressées - et, pour l’une d’elles, amoureuse - orchestrent en réalité cet incroyable huis clos à travers la planète pendant les derniers jours fous de 1999. Paris, Las Vegas, Los Angeles, Darwin : le tour du monde, quatre vies, une mort.
© Fayard et Christine Arnothy

Reviews

La Tribune de Genève, 8-9 janvier 2000, Alain Penel « Ce livre (?) ne constitue pas seulement le compte rendu d'une joyeuse arnaque. Il donne une relation fidèle des moeurs d'un temps voué surtout à l'argent. »

Le Parisien, 15 janvier 2000, Pierre Vavasseur « <Christine Arnothy> a cet incroyable sens de la construction qui lui permet de venir à bout, avec le plus grand naturel, des pièges les plus complexes. »

Le Figaro littéraire, 20 janvier 2000, Philippe Custin « C'est un roman bien conçu, avec un suspense construit et de multiples rebondissements. »

Victor, 12-13 février 2000 « Christine Arnothy réécrit dans ce Complot de femmes  l'histoire de l'arnaqueur arnaqué. A sa manière. Avec l'humour et l'énergie de narration qu'on lui connaît. »

Le Retraité Militaire, mai 2000 « Un roman moderne, passionnant, parfois déroutant, dont la lecture offre plusieurs heures d'évasion. »

©Christine Arnothy