Aviva-Flammarion
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Un jeune reporter photographe français rencontre en Israël, pendantla guerre des Six Jours, une jeune femme, sous-officier de l’armée israélienne. Il ne parle que le français, elle ne parle que l’hébreu. Il en tombe éperdument amoureux, mais elle disparaît peu après les combats de Jérusalem. De famille catholique et d’origine provinciale, Jean-Paul annonce à sa mère qu’il veut épouser Aviva. A vrai dire, tout ce qu’il connaît d’elle, c'est son prénom. Il retourne en Israël à sa recherche, bien que sa mère s’oppose à cette union. Il espère pouvoir surmonter à la fois les traditions catholiques et les règles du judaïsme. Ce récit, palpitant d’amour contenu, où la jeunesse actuelle est dépeinte comme elle ne le fut jamais, est conduit avec une rare tension. |
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© Flammarion et Christine Arnothy
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France-Soir, 12 septembre 1968, Roger Giron
« (?) merveilleuse histoire d?un amour impossible. » Juvénal, 13 septembre 1968, Martin Salvadori « (?) L?auteur a créé un personnage mythique. (?) Tout au long des chapitres d?un intérêt constant, où l?action sans cesse rebondit, où le passé s?infiltre dans le présent pour le mieux soutenir, Christine Arnothy accumule les notes amusantes, les réflexions graves, les apartés de toute nature. C?est un éblouissement, un feu d?artifice, mais jamais rien de forcé, de pesant. » La Libre Belgique, 13 septembre 1968 « Une fois de plus, l?auteur réussit brillamment ses héros (?). C?est une sorte d?analyse du siècle et de ses mouvements (?). » Le Journal du Dimanche, 15 septembre 1968, Annette Colin-Simard « Un livre complet : nous y trouvons aussi le portrait d?une certaine jeunesse d?aujourd?hui, celui des m?urs de la province, le récit d?un voyage, une esquisse d?Israël et enfin un essai de compréhension de la différence entre deux civilisations, la française et l?israélienne,la catholique et la juive. » La République-Le Provençal, 16 septembre 1968, Charles de Richter « (?) Christine Arnothy est une grande romancière ; mais au-delà, on est cerné par l?extraordinaire psychanalyse des personnages (?). » L?Aurore, 17 septembre 1968, Yrène Jan « Christine Arnothy nous montre comment les frontières de deux mondes contrarient la plus pure et la plus bouleversante histoire d?amour. » Sud-Ouest, 18 septembre 1968, André de Wissant « (?) le climat psychologique d?Israël est aussi magistralement typé que l?atmosphère de Tel-Aviv ou du lac de Tibériade (?). Dans ce cadre extraordinairement vivant et actuel, l?auteur a imaginé une intrigue amoureuse originale (?). Ce thème central, qui fournit à Christine Arnothy l?occasion d?évoquer les problèmes, non seulement internationaux, mais culturels (avec les contrastes saisissants des civilisations chrétienne et judaïque), ainsi que de dépeindre le comportement des jeunes générations face aux bouleversements du présent et de l?avenir, nous vaut des pages d?un écrivain d?un rare talent (?). » Week-end, 21 septembre 1968, Léon Zitrone « (?) un roman d?un très vif intérêt. » La Voix du Nord, 25 septembre 1968, Paul Guth « Christine Arnothy est une romancière née. Elle nous entraîne dans l?orbe de ses personnages. Elle recrée le monde selon cette transmutation qui force notre adhésion, par la connaissance profonde de ses héros, par son sens de l?intimité, aussi bien que par la grandeur épique, qui dépasse les cas particuliers. Et puis, chez Christine Arnothy, la romancière se double d?une journaliste. L?étude d?un milieu, le reportage sur un pays, les événements plus ou moins politiques ou dramatiques se fondent dans l?action romanesque avec un bonheur peu commun. » Miroir de Paris, 1er octobre 1968, Paul Guth « Christine Arnothy réussit le tour de force de traiter le problème historique, sociologique, biologique, religieux le plus important de notre siècle : à l?heure où la rapidité des communications, la diffusion instantanée de la pensée, la similitude des m?urs sont près de faire l?unité de la planète, réussira-t-on à reconnaître l?unité du genre humain, ou bien maintiendra-t-on des ségrégations génératrices de guerres ? Christine Arnothy traite ce problème non dans un essai ni une thèse, mais dans un splendide roman, rayonnant de toute sa densité de chair, d?âme, de douleur. » Courrier de l?Escaut, 25 octobre 1968, André Dejardin « (?) il [le personnage de Jean-Paul] n?est qu?un prétexte : prétexte à la description d?un certain monde de la Presse, d?un esprit provincial figé, de la Terre Sainte sous ses aspects les plus contemporains? Prétexte aussi à une certaine férocité à la façon d?Hervé Bazin. » Le Méridional, 11 octobre 1968 « Le deuxième voyage de Jean-Paul en Israël est peut-être la partie la plus réussie de ce livre parfait. » Notre République, 11 octobre 1968, Guy Verdot « (?) il est indéniable que nous nous trouvons devant un grand écrivain. » Les Dépêches, 16 octobre 1968 « On lira (?) avec un beau plaisir le nouveau roman de Christine Arnothy, qui s?intitule : ?Aviva?. » La Croix Dimanche, 20 octobre 1968 « Comme tout ce qu?écrit Christine Arnothy, ce livre se lit d?une seule traite. » Le Figaro littéraire, 18-24 novembre 1968, Robert Sabatier « Ici, sa plume passionnée et incisive montre une des multiples faces d?Israël, avec une ardeur contenue et une vérité évidente. » Courrier de l?Ouest, 17 décembre 1968 « L?auteur y apparaît [dans Aviva] en parfaite possession de son art, ayant définitivement assis sa personnalité littéraire : pour la forme, un style précis, efficace qui recèle de belles images sans jamais effleurer le maniérisme ; pour le fond, une sensibilité chaleureuse dans la recherche des ressorts secrets de l?âme, une lucidité qui ne recule devant aucun des replis les plus intimes, et surtout un parti pris systématique d?épouser son siècle et de situer le drame psychologique de ses personnages dans la trame des grands problèmes de notre temps. » |
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© Christine Arnothy
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